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I need a cha cha beat
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Art Musical
Kang Aaron
Lun 25 Mai - 15:08
Messages : 12
Classe & Poste : musique
Kang Aaron
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Kang Aaron


« I'm sorry that I'm both your umbrella and the rain. »

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Carte d'identité
Nom : Kang
Prénom : Aaron (prénom coréen : Young-min)
Age : 22 ans
Origine : coréennes & américaines
Situation : moyen - vit avec un de ses oncles
Classe : Musique : danse - 3e année
Job : pro des petits boulots, en ce moment bosse comme serveur à Starbucks
Orientation sexuelle : pansexuel demiromantique
Feat : Dan Geon Woo - The world is money and power


Facts

→ Anniversaire : 14 avril & 99' liner
→ pratique la boxe thaï et certaines danses comme le krump, le popping, et le breakdance (qu'il pratique aussi à la NIU)
→ s’endort avec le bruit de la pluie
→ ex-membre d’un crew de b-boys composé de jeunes coréens-américains
→ peut dormir avec des chaussettes, frileux (et en même temps, il a connu les hivers californiens, alors celui en Corée du Sud, il a du mal. Heureusement, il fait relativement doux à Busan, mais Séoul, c'est nope)
→ parle coréen et anglais
→ surnom : Fadead. C'est aussi son nom de bboy et l'identité sous laquelle il sort des beat tapes depuis l'âge de 15 ans.
→ a des tatouages qu'il cache dans certains cas
→ a une voix grave légèrement rocailleuse
→ boit souvent du somaek (un cocktail à base de soju et de bière)
→ écoute beaucoup de lofi, de hiphop, et aime secrètement le trot. A grandi avec Seo Taiji & the boys et H.O.T à cause de sa mère
→ sort avec des filles plus âgées que lui. Le genre de mec qui se tapera ta sœur
→ La plus grande différence d'âge dans l'une de ses relations : 7 ans. C'était d'ailleurs sa dernière qui a duré 4 mois.
→ a son permis moto
→ incapable de manger du poulpe vivant, que ce soit enroulé autour d'une brochette ou coupé.
→ ses origines américaines viennent de son côté paternel et remontent à la fin de la Seconde Guerre mondiale et de l'occupation militaire américaine de l'actuelle Corée du Sud.
→ en dépit d'une famille plutôt catholique, Aaron est plus intéressé par le bouddhisme et le chamanisme.

knwon-10.png


Sheer Etudiant


Apparence
6
Taille
8
Intelligence
6
Popularité
5
Bagarre
8
Libido
7



Particularités

Passer les premières années de sa vie dans un pays, grandir dans un autre, et se résoudre à vivre dans une zone grise où se mêlent les deux cultures et les différentes influentes. Peu importe le moule, Aaron sait qu’il le cassera. Alors, il a cessé de s’embarrasser des attentes de sociétés pour lesquelles il est toujours « trop » ou « pas assez ». La vie est trop courte pour plaire à des gens qui ne sont qu’une constellation d’inconnus. Certains se font parfois très vite un avis sur sa personne à la vue de ses tatouages et de ses piercings. Sur l’histoire cachée derrière ses yeux verts, alors que lui ne la connaît même pas. Le court-métrage projeté sur leurs rétines n’est pas toujours flatteur pour Aaron, lorsqu’il les surplombe de son mètre 87. Mais il ignore ces regards. Les remarques pernicieuses. Les flèches de désapprobation. Autant d’impacts dont il refuse d’être criblé. Cependant, il faut savoir quand se taire et quand se battre. Et Aaron est capable d’ignorer, de lancer un regard synonyme de « vas-y, énerve-toi dans ton coin », tout comme de foutre un uppercut si la situation le nécessite. Les combats physiques ne l’excitent plus autant que ça, mais en cas d’agression, la question de l’auto-défense ne se pose pas.

Celle de son avenir, non plus. Passionné, touche-à-tout, il ne s’imagine pas abandonner ses rêves sur le bord de la route. Danseur, beatmaker, et plus que ça, lorsqu’il s’agit de se libérer de ses émotions. Quelques chansons perdues sur un compte SoundCloud, toutes dédiées à des femmes. Une arrière-grand-mère, forcée à être femme de réconfort, blessée dans sa chair jusqu’à son dernier soupir. Sa mère qui rêvait juste d’un autre avenir. Son premier amour dont la trahison l’a fait défaillir. Raconter pour se décharger d’un fardeau, pour avancer avant que les sentiments entravent. Tout tester pour satisfaire sa curiosité, pour tracer les contours de ses limites. Se perdre dans une passion, devenue ombre fidèle depuis ses premiers pas aux Etats-Unis.

Mais Aaron a conscience, qu’à part pour les amis, trouver sa place dans une vie partagée entre deux continents n’est pas évident. Et même lorsqu’il est à Busan. Ses semaines sont morcelées entre son petit boulot, les études, et ses différents projets en cours. Alors, si son cœur ne bat pas pour quelqu’un, les amours d’une nuit lui suffisent. Pas de promesses, pas d’attaches, pas d’exigences. Juste le plaisir du jeu, du flirt sans lendemain. Il virevolte au rythme de ses coups de cœur sans se prendre la tête. Une décontraction, reflet des envies qu’il suit dès qu’elles surgissent dans son esprit. Rouler loin de Busan après le boulot. Contempler le coucher de soleil à la plage de Dadaepo.

A la NIU, il fait tout de même preuve d'un semblant de stabilité. Présent aux cours, mais pas toujours réveillé en fonction des horaires de son boulot à temps partiel, il tient parfois du camarade qui demande gentiment à prendre les notes en photo. Ça peut énerver, et il essaie tant bien que mal de s'en sortir par une pirouette. Une promesse, un service à rendre la prochaine fois. Aaron tient parole. Il s'avère aussi bien plus fiable lorsqu'il s'agit d'apprendre une choré ou d'aider les autres élèves. Et si un professeur lui fait une remarque sur cette assiduité pas toujours présente dans les autres cours, il se contente d'un vague sourire. Profil bas et courtoisie avec les figures d'autorité, il a appris de ses erreurs de jeunesse.

Profil bas parce qu'il n'a pas envie de se faire virer de cette école qui lui coûte assez cher comme ça. Il pensait que la NIU serait un tremplin pour sa carrière, que la reconnaissance de ses compétences en danse pouvaient lui ouvrir d'autres portes. Maintenant, il se dit qu'il aurait peut-être dû emprunter un chemin. Trop d'intrigues dont il se fout, des messes-basses qui bouffent du temps et le rappel de la culture maternelle qui lui semble parfois trop étrange.

Parfois, il se dit que c'est la merde. D'autres fois, il se dit que ça ne serait pas mieux aux Etats-Unis. Juste différent.

Notes : Sur le campus, il garde une chemise ou un sweat dans son sac pour se couvrir et cacher ses tatouages en présence de quelqu’un de plus vieux que lui, au cas où. Sinon, il ne le fait pas, et en cas de réaction négative de la part d’une personne de sa génération, il estime que soit elle perpétue une certaine stigmatisation, soit qu’elle est trop imprégnée de principes confucéens (aka que le corps est transmis par les parents et que l’altérer est un manque de respect) – et qu’il fait ce qu’il veut de son corps.


Le background

Au premier plan une femme de taille moyenne, ses cheveux sombres battant au vent, les bras enroulés autour de la taille d’un jeune homme. Lui la tient par les épaules, un sourire tranquille aux lèvres. Deux âges, deux styles. Sa robe rouge avec de la dentelle respire la bohème. La matière épouse son corps, lui fait un joli corps de flammes. Son débardeur blanc expose ses tatouages et dévoile ses épaules carrées. Sa vieille paire de jeans entame une seconde vie. Celle d'un débardeur au denim usé. Clash de contraste. Une sœur et son frère ? Non, pourtant, certains se méprennent. À bien les regarder, on comprendrait qu’elle a été mère, jeune. Ça sent les retrouvailles. Voire les vacances. Se balader tranquillement, être victimes d’un instant figé, volé pour se rappeler où on a été.

Au second plan, la plage et l’océan. Étendue d’eau survolée pour faire un aller-retour entre deux pays. Une maison scindée en deux, et lui, entre. Les « A bientôt » au bord des lèvres. Les adieux sur le bout de la langue. Partir pour mieux revenir. Une habitude prise tôt, à huit ans, quand le coréen a cessé de vibrer dans ses oreilles. Quand l’anglais a commencé à dominer son quotidien.
Nécessité de couper le cordon. Celui de la langue qui enracine dans un pays, qui offre un sentiment d’appartenance. Une identité.

Pour en reconstruire une autre.
Pour se redéfinir.
Pour tuer des parties de soi.
Pour détester ces autres qui ne se perdront jamais dans les zones grises.

Le drame a débarqué, un matin d’octobre, dans une école, dans un corps assis à une table. La remarque de trop. L’institutrice qui reprend une énième fois sa prononciation. Les dents qui se serrent. Les mains refermées en poings crispés sur le bureau. Sentiment d’humiliation. Plus jamais il ne reparlera. Promesse faite à lui-même. Dépossédé de son prénom, dépossédé de ses habitudes, il a envie de hurler. De scander qu’il n’a jamais voulu venir, lui.

Chaque soir, il jette des vêtements dans son sac à dos. Chaque matin, il y met ses affaires de classe.
Chaque matin, il traîne des pieds. Chaque soir, il revient avec une blessure.

La bagarre est son nouveau langage. Pas d’ambiguïté dans les coups. Pas de subtilité dans les balayettes. Pas d’équivoque quand le sang emplit la bouche. Quand seule reste la douleur après la déferlante de colère, et qu’avec elle, vient le sentiment d’être vivant. Ça fait du bien. Ça apaise, jusqu'à ce que l'institutrice convoque sa mère. Assise les mains jointes, elle écoute. Hoche parfois la tête. Assure qu'elle ne comprend pas. Son fils n'a jamais été comme ça. C'est un gentil garçon, pourtant ! Une fois dehors, ils marchent l'un à côté de l'autre, séparés par le sentiment d'étrangeté. Mais dans leur appartement situé juste au-dessus d'un pressing, elle s'assied sur le canapé. Les yeux dans le vide. Le visage dénué de toute expression. Et elle crée sa propre pluie.

Le New Jersey se transforme en Enfer personnel. Point de chute choisi pourtant avec soin, mais pas de répit promis. Les bagarres de son fils. Les remarques incessantes d’une de ses sœurs aînées déracinées bien avant elle. Les conseils enrobés de venin après le sermon à l’église. Les opinions des mères de la diaspora coréenne. Les adultes ne s’évadent jamais totalement de la cour d’école. Elle prend juste une forme différente.

Et lui, dans tout ça, il balance entre rage et culpabilité. Celle de passer de caillou à roc sur lequel le bon sens glisse. Celle d’éviter sa mère lorsqu’elle rentre de son boulot dans un pressing. Ne pas se faire prendre devient sa nouvelle obsession. Quitte à péter des phalanges autant le faire dans les ruelles loin de l’école.

Une rencontre met un terme à cette trajectoire destructrice. En voyant du sang moucheté les baskets et le tee-shirt déformé, David Pham aurait pu passer son chemin, mais le jeune homme s’est approché et lui a demandé s’il avait mal quelque part. Un flash d’inquiétude et défiance a filé dans les prunelles de Aaron. Réflexe. Qu’est-ce qu’un inconnu lui veut ? Et s’il était dangereux ? Il recule ; David reste à sa place sans pour autant baisser les bras. « Je bosse dans le quartier. Si un jour, tu as besoin d’aide, n’hésite pas, d’accord ? » Aaron esquisse un rapide hochement de tête avant de fuir.

Les rencontres accidentelles se succèdent. David l’apprivoise à coup de questions entrecoupées de silence. Petit à petit, il perce sa carapace. Différentes origines, mais il comprend sa situation : celle d’une remise en question culturelle, celle d’apercevoir un parent penché sur le dictionnaire, celle de se noyer dans des spécificités linguistiques. Pendant les pauses de David, ils parlent de tout et de rien. École, musique, nourriture, d’une vie sous le signe de l’autonomie. Du futur et de leurs aspirations. David veut continuer son boulot de travailleur social. Aaron du haut de ses 9 ans ne sait pas trop. Secrètement, il aimerait être Choo Shin-soo, après tout le baseball est populaire dans les deux pays. Mais il n’est pas certain d’être bon pour ça. La seule chose dont il est certain, c’est de préférer le sport à noircir ses cahiers.

Finalement, un soir, David lui demande s’il peut rencontrer sa mère. Aaron hésite, craint la trahison, alors il pose ses conditions : ne rien dire à cette dernière sur ses incartades. Jeu de dupes, mais tout le monde ferme les yeux dans cette histoire. Peu importe, David promet et, tapi dans la chambre partagée avec sa mère, Aaron entrebâille la porte, épiant une conversation le concernant.

Quelques semaines plus tard, David l’introduit à nouveau monde : celui de la boxe thaï. Une porte de sortie que plusieurs fois, il menace de claquer. Trop de rigueur, une discipline qui se heurte à son caractère, mais s’il abandonne, le retour en arrière sera impossible. Il le sent dans ses tripes.

Et quand la fatigue émousse sa détermination, il lui suffit de poser les yeux sur une citation. Encadrés dans la salle d’entraînement, les mots de Confucius planent sur les lieux : « la vie de l’homme dépend de sa volonté ; sans volonté, elle serait abandonnée au hasard. »


Chaque famille a sa spécialité. La leur, c’est la fuite. Tout a commencé alors qu’il n’était même pas né. Busan – Séoul – Busan – Jersey City – Los Angeles – Busan. La mère s’est posée aux Etats-Unis, mais le fils a pris le relais amorçant un retour dans un pays qu’il se voit déjà quitter. Home is a feeling. Et Aaron court après ce sentiment, s’habituant à l’envie irrépressible de se barrer.

Même lorsqu’il s’entraîne, même lorsqu’il gratte ses cours sur les bancs de la NIU, même lorsqu’il est coincé à son petit boulot, elle l’accompagne. Elle attend juste à son heure. Mais au fond, Aaron sait que s’il n’avait pas un emprunt sur les bras, il serait déjà loin. Sac sur le dos et un aller simple pour New York, Tokyo ou Londres en poche. Si tout était à refaire, il commencerait par son service militaire, puis lèverait les voiles, satisfait d’avoir accompli son devoir.

En attendant, il s’acquitte de ses devoirs familiaux et participe du mieux qu’il peut chez son oncle. Pour lui qui a perdu sa femme des suites d’un cancer, une nouvelle présence anime l’appartement et l’aide à s’occuper de sa fille.

— Je crois que tu vas devoir trouver un autre tatoueur. Il y a eu un raid de la police au studio de Hee-seop. La faute à un client mécontent à tous les coups, soupire l’homme tout en retirant ses chaussures.

Sa fille lui saute dessus crayon en main, délaissant ses devoirs. Aaron passe une main dans sa nuque. Dans ces moments-là, sa mère lui manque. Un peu. Non, beaucoup.

— Je crois que je vais attendre Chuseok. Je le ferais à Los Angeles quand j’irais voir maman.

Ce sera plus simple. La législation coréenne au sujet de l’acte de tatouer le laisse toujours songeur, mais ce n’est pas comme s’il n’a pas d’autres options sous le coude. Sa mère et lui alternent les déplacements entre les deux continents pour certaines fêtes, et cette année, c’est son tour. Mais son adolescence à Los Angeles n’est jamais très loin. Les photos recouvrent entièrement un des murs de la pièce qu’il occupe. Cinq ans de sa vie entre découvertes et affirmation de soi. Entre battles et les esquisses d’un futur se dessinant de lui-même. « L’important est que tu fasses ce qui te rend heureux. » Sa mère préférait l’encourager plutôt que de l’entraver. Les flashbacks des premières continuaient à la hanter. La récidive ? Pas question.

Son oncle ne juge pas plus. Lui a beau être plutôt Sinawe et Boohwal, il bouge, discrètement sa tête, au rythme des paroles déversées. Au fond, il aime bien son neveu, même s’il le trouve particulièrement con quand il est amoureux. Faut bien que jeunesse se fasse et se passe. Du moment qu’il ne fait pas d’erreur.

Du moment qu’il ne fait pas comme son père. Officiellement mort. C’est plus simple d’enterrer les vivants. De toute façon, l’histoire n’appartient qu’à celles et ceux qui peuvent la raconter. Qui se soucie des omissions ? Des petits arrangements ? Géniteur décédé, enfant disparu, et hop, ça fait l’affaire. Des morceaux d’histoires brodés pour dessiner le patchwork du présent. Les coutures sont solides ; ça ne se déchirera pas. Du moins, c’est que sa mère croit. C’est que son oncle espère. À chaque fois, il tressaille quand son neveu part à Séoul, fait la fête dans les clubs de Hongdae ou Gangnam. Il pense aux scandales, à ces filles trop jolies qui se font exploiter, à ces hommes en costumes qui ne paient pas pour l’amour.

Aaron est une erreur qui s’ignore. Une existence que l’autre, l’épouse légitime, craint sans connaître et qu’elle ne pardonne pas à son époux. Les infidélités font désordre dans leur milieu. Encore plus quand on est un homme de loi. Non, pas avocat. Procureur.

De l’autre côté de l’océan, sa mère cherche inlassablement les bons mots pour le faire revenir à Los Angeles. Notre famille a beau être originaire de Busan, ce n’est pas un endroit pour toi. Non, elle aurait dû l’empêcher de partir tout simplement lorsqu’ils regardaient tous deux les offres universitaires possibles. Oui, Busan, c’était le port d’attache de la famille, mais pourquoi vouloir se poser là-bas alors qu’il avait encore tant à faire à Los Angeles ? Tigerclaw, leur crew, se préparait à nouveau pour les championnats à venir dont le Freestyle Session et le R-16 Korea. Leur participation, les années précédentes, à cet évènement avait déjà mis en lumière leur crew, alors qu’en parallèle, leur chaîne YouTube prenait son envol. Mais la quête d’identité reste plus forte que tout. Et la NIU réunissait les deux conditions qui intéressaient Aaron pour un retour dans son pays natal : un ancrage familial et la possibilité de devenir danseur professionnel en passant par une autre voie. Il accompagna son dossier d’inscription de plusieurs liens menant à des vidéos de ses performances. Puis vint l’attente.

Une première vague de choc culturel submergea la première année. Revenir en Corée du Sud pour les vacances et y séjourner à longueur de temps, la réalité lui rappela que, lorsqu’il n’était pas dans le milieu du hip-hop, il s’agissait bien de deux choses différentes. Mais avec un emprunt sur les bras, pas question d’abandonner. Pas question d’entendre « alors tu as déjà baissé les bras ? » Avec les années, il a réappris certains codes, mais surtout à faire sa vie, s’efforçant de rester loin des problèmes aussi bien à la fac qu’en ville. Pas question d’avoir affaire à la police quand votre famille n’est pas assez riche pour vous permettre de jouer avec le système. Peut-être qu'il aurait pu être du bon côté. De bénéficier du pouvoir des parents comme d'un parapluie sous lequel on s'abrite. Mais il faudrait revenir en arrière, réécrire l'histoire.

Le passé ne meurt pas. Il subsiste tant qu’on a pas trouvé les mots pour exorciser les maux.
Mais peu importe, si la descendance vit dans l’ignorance, non ?


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Ten worshipper
partially alive, always hungry
blame Jae
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Art Musical
Choi Tae-Hyun
Lun 25 Mai - 15:13
Messages : 122
Age : 25
Classe & Poste : Art Musical | Membre du Conseil des Élèves
Choi Tae-Hyun
Profil MP Email Pin https://coucoutest.forumactif.com/
OMG JE SUIS FAN I need a cha cha beat 1424021741 (FIRST EN PLUS)

Alors déjà bienvenue sur SM j'espère que tout va comme tu veux. N'hésite pas à nous poser des questions si jamais tu es perdu ou bloqué.

Alors les facts sont juste un régal! Par contre j'aimerais savoir l'année de naissance d'Aaron si possible ♥

Bon courage pour la suite de ta fiche et encore bienvenue I need a cha cha beat 1863481027
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Personnel
Hamilton Everest
Lun 25 Mai - 21:13
Messages : 43
Classe & Poste : Infirmier
Hamilton Everest
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Welcome here, Aaron I need a cha cha beat 1863481027 !

J'aime déjà ce perso, mais cette fiche reste terriblement VIDE I need a cha cha beat 2412504220 hâte d'en savoir plus héhéhé 👀 !
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Art Musical
Kang Aaron
Lun 25 Mai - 21:20
Messages : 12
Classe & Poste : musique
Kang Aaron
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@Tae-Hyun : I need a cha cha beat 1424021741
Du coup, par rapport à l'année de naissance, j'ai ajusté un peu pour que son anniversaire soit passé uhuh

@Everest : azy je pense à la comédie musicale /pan
Ça va se remplir doucement et tranquillement, je l'jure (a) !

Merci à vous deux pour l'accueil <3
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Personnel
Hamilton Everest
Lun 25 Mai - 21:24
Messages : 43
Classe & Poste : Infirmier
Hamilton Everest
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ah mais c'est le but, de penser à la comédie musicale, mon chou *est un être diabolique*

*envoie tout plein de motivation I need a cha cha beat 1863481027 !*
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Art Musical
Ki Jung Jae
Mar 26 Mai - 0:48
Messages : 180
Classe & Poste : Chant
Ki Jung Jae
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Salut BB.

Citation :
s’endort avec le bruit de la pluie
Comment dire ... same thing for Jea mdrr

Citation :
sort avec des filles plus âgées que lui. Le genre de mec qui se tapera ta sœur
Tu m'as tuééééé I need a cha cha beat 4044668254 TOUCHE PAS AUX SOEURS. NI AUX MERES !

Je veux d'autre facts, j'aime tellement les idées qui sortent de ta caboche. Et je feel tes liens musicaux dans les autres cases.

I need a cha cha beat Tumblr_inline_okgepp6fQP1un4l7b_500
Moi quand je check ta fiche toutes les deux heures
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Architecture
Yoon Min-Ho
Mar 26 Mai - 1:17
Messages : 184
Classe & Poste : Architecture + membre n°8 du Conseil des élèves
Yoon Min-Ho
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Citation :
sort avec des filles plus âgées que lui. Le genre de mec qui se tapera ta sœur
cette funfact I need a cha cha beat 600265677 I need a cha cha beat 600265677 I need a cha cha beat 600265677

en vrai déjà le peu écrit, ca déchire, hate de voir la suite
Bienvenuuuue ❤
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avatar
Mer 27 Mai - 12:16
Invité
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"Le genre de mec qui se tapera ta sœur" Désolée je n'ai qu'un grand frère mais il pourrait peut être faire l'affaire? XD

Sinon bienvenue beau gosse :) , hâte de lire ton histoire.

PS: Le poulpe c'est bon !
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Personnel
Kwon Jin Ran
Mer 27 Mai - 12:52
Messages : 45
Classe & Poste : Directeur ajoint
Kwon Jin Ran
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Bienvenue à toi jeune homme !
Bonne rédaction inspirée de ta fiche.
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Art Musical
Kang Aaron
Mar 2 Juin - 18:58
Messages : 12
Classe & Poste : musique
Kang Aaron
Profil MP Email
@Jae : ça me donne une idée cette histoire de vidéo et de pluie (même s'il va rester confus face à Jae pendant un moment /pan )

@Min-ho : En même temps, il sait que ça en fait fondre certaines de se faire appeler noona alors il se prive pas 8D

@Cho-in : j'imagine le grand frère en mode "mais wtf ?" xD
(et je plussoie, le poulpe mariné, c'est si bon !)

@Jin-ran : merci !!

Ça avance doucement, mais sûrement krkrkr !
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Art Musical
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Dim 7 Juin - 22:18
Messages : 245
Classe & Poste : Danse / 3eme année
Sung Jung-Hwa
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Bienvenueeeeeee! Beau vava ! I need a cha cha beat 32972422 On se demande pas pourquoi MDR
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Art Musical
Kang Aaron
Mer 10 Juin - 12:19
Messages : 12
Classe & Poste : musique
Kang Aaron
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@Jung-hwa : I need a cha cha beat 32972422 (camarade de spé et 3e année uhuh)
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Art Musical
Choi Tae-Hyun
Jeu 11 Juin - 0:27
Messages : 122
Age : 25
Classe & Poste : Art Musical | Membre du Conseil des Élèves
Choi Tae-Hyun
Profil MP Email Pin https://coucoutest.forumactif.com/
Coucou,

C'est une fiche magnifique, j'ai franchement quasi rien à dire sauf deux, trois petites choses minimes, mais qui restent importantes à mon sens.
Premièrement, Aaron semble avoir beaucoup de tatouages, est-ce qu'il les exhibe librement à NIU ou non?
Et deuxième et dernièrement, j'aimerai en savoir plus sur la scolarité d'Aaron et le fait qu'il ait réussi à entrer à NIU. On en entend très peu parler dans l'histoire, mais ça reste tout de même un point central du forum.

Si jamais tu as des questions n'hésite pas à venir me voir en mp ou sur discord. Et courage pour les modifications ♥
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Art Musical
Kang Aaron
Jeu 11 Juin - 13:20
Messages : 12
Classe & Poste : musique
Kang Aaron
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Merci pour le compliment sur la fiche !!
Et les ajouts sont faits \o/
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Art Musical
Choi Tae-Hyun
Jeu 11 Juin - 14:07
Messages : 122
Age : 25
Classe & Poste : Art Musical | Membre du Conseil des Élèves
Choi Tae-Hyun
Profil MP Email Pin https://coucoutest.forumactif.com/

Te voilà validé !

Alors je le redis, tu as une plume de malade! J'ai vraiment kiffer lire ta fiche, elle est très fluide et agréable franchement bravo. Y avait vraiment pas grand chose à ajouter sur ta fiche, Aaron est un personnage hyper intéressant, je l'aime beaucoup et j'espère peut-être avoir un futur rp avec toi. Sache que ta réputation est de 60%, elle a été rajoutée automatiquement sur ton profil. Aller, je ne te retiens plus longtemps, profite bien de ce fofo.

Bienvenue et félicitations, tu es validé!

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