FactsHabillé le plus souvent de façon sobre et classe – peigné de façon impeccable – lentille rouge sur ses yeux brun pour se donner un style – pas de tatouage mais c’est un projet – du genre à trainer a la bibliothèque pour simplement jauger la populace – tient un blog d’écriture – s’il s’était pas lancé dans la musique, il aurait probablement cherché à faire ses preuves dans l’écriture – du coup il a commencé a écrire des chansons aussi – mais ça, ça reste secret pour l’instant – possède un chat noir du nom de : Oréo – rien a voir avec fameux gâteau je vous le jure...– écoute tout type de musique, il est assez ouvert mais il a tout de même sa préférence pour le genre : classique, pop-rock et aussi surprenant que ca puisse paraître, éprouve aussi une attirance pour la musique celtique – il sait jouer du piano, c’est sa spécialité – il est très nul en danse, c’est sa faiblesse – il a pas peur de se faire blesser au visage – a pratiqué pendant 2 ans un sport de combat type Taekwondo avant d'entrer a la NIU - est déjà passé plusieurs fois à l’hôpital.
Sheer Etudiant
Apparence
Taille
Intelligence
Popularité
Bagarre
Libido
ParticularitésQu’on se le dise, les apparences sont trompeuses.
Si d’apparence il semble propre sur lui, il ne faut pas se fier à cette simple première impression. Mi-Sha est un perfectionniste, il aime l’ordre. Mais qu’est ce que l’ordre pour Mi-Sha ? Certes, c’est bien évidemment, tout bien classer dans ses bibliothèques, tenir son appartement de façon impeccable. Mais en réalité, cette définition est bien plus complexe : Mi-Sha a sa propre définition de l’ordre. En somme, il s’illustre plus comme un justicier qu’un héros. Mi-Sha serait tout à fait du genre à admettre que son sens de l’honneur n’est pas ce qui est mieux pour le monde, mais finalement, rien n’est parfait. Et finalement, Mi-Sha encaisse parfaitement bien le fait qu’il fait subir sa propre justice, sa propre philosophie aux autres, sans s’inquiéter de savoir si c’est réellement ce qu’il y a de mieux pour le monde. Mi-Sha se casse moins la tête qu’il en a l’air.
Quand il a une idée en tête il la suit, voilà tout.
Alors derrière son regard froid, on peut aussi se surprendre à découvrir une personne assez sympathique. Il assimile beaucoup de chose, sans nécessairement juger de prime abord les conseils qu’on lui donne. Ce n’est qu’après avoir analysé objectivement, ou du moins, de son point de vu une situation qu’il pourra prendre en compte ou non le conseil qu’on peut lui donner. Même ses amis se surprennent à constater que Mi-Sha parfois, n’en fait qu’a sa tête et ne suit pas ce qu’ils ont pu lui conseiller – en somme, Mi-Sha n’est pas en recherche de reconnaissance, ni de sa propre personnalité, il est plutôt du genre à se battre contre l’influence que peut lui inculquer la société : il a trouvé sa personnalité, il a ses principes, ses idéaux et il veut les garder quoiqu’il arrive.
Oui Mi-Sha semble persuadé qu’il a la science infuse finalement.
Et quand on essayera de remettre en question ses propos, il vous remballera avec toute la délicatesse dont il peut faire preuve. Sa fierté est quelque chose que même le premier venu peut directement capter en le croisant dans les couloirs. C’est sûrement la seule chose qu’il n’est pas surprenant de constater chez Mi-Sha. A savoir qu’il est peut-être un pro des joutes verbales quand il veut, mais il ne faut jamais aller trop loin avec lui car en réalité, derrière son apparence propre sur lui, il n’a pas peur de se salir les mains : au nom de ses principes.
Misha sait se battre.
Et quand il se bat, on capte clairement qu’il est pas là pour rire. Coup de poing, coup de pieds, quitte à salir sa belle chemise qu’importe. Mi-Sha est prêt à en découdre. Il protégera beaucoup, il cherchera peu. Mais « peu » ne veut pas dire qu’il ne cherchera pas la bagarre. Ça lui arrive d’avoir des soudaines envies de se défouler. Comme si ça vie était finalement trop monotone, comme si finalement, la bagarre était un défouloir et un bon moyen de s’illustrer comme un membre de gang. Au final, qu’on se le dise, Mi-Sha aura beau défendre la veuve et l’orphelin, ce ne sera pas pour aider, mais simplement pour répondre a ses principes qu’il s’est auto-fixé. Mi-Sha défend une justice qui n’est pas accepté dans cette société et il en a conscience, et finalement, il n’en a que faire d’être trainé dans la boue, tant qu’il garde la tête haute et ses idéaux en tête, c’est tout ce qui importe.
Le background« La vie c’est jamais un long fleuve tranquille.
Pour percer dans ce monde, il faut persévérer.
Mais il faut aussi s’affirmer sans manquer de respect.
Il faut se démarquer sans trop se faire remarquer.
Ces multiples contradictions font que finalement, la vie c’est jamais une promenade de santé.
Mon père est chef d’une grande entreprise de transport.
Ma mère n’est pas grand-chose à côté, elle tente tant bien que mal de percer dans le milieu artistique, elle s’accroche a son rêve avec une telle force qu’au fond, j’ai été obligé de l’admirer à un moment dans ma vie.
Au début, on est chaperonné par nos parents.
Parce que sans eux on est rien.
Mes premières années à l’école ça n’a pas été une partie de plaisirs. Je prenais beaucoup de libertés et on me le reprochait. On me voyait comme un enfant turbulent, bagarreur et donc on a dû me recadrer.
La bagarre c’était plus pour avoir de l’attention à l’époque, mais c’était un mauvais calcule car au lieu de recevoir de l’amour j’ai reçu des réprimandes.
Je n’étais pas fier.
Alors en grandissant, j’ai fini par me calmer et réfléchir.
Au final, j’ai dû me résigner à réfléchir avant d’agir.
Comme quoi les réprimandes ça a eu du bon tout de même : ça a permis de me rendre plus intelligent.
Plus ça allait et plus, je me plaisais à planifier tout à l’avance. Rien ne semblait être choisi au hasard. J’ai su faire preuve de patience et d’anticipation.
Du coup vous vous doutez bien que mon projet d’avenir a été vite ficelé.
J’ai toujours joué du piano, depuis tout petit, c’est bien la seule activité qui me détendait.
J’aime cet instrument.
Alors pourquoi pas en faire définitivement une force ?
J’ai pas hésité, je me suis rapidement rapproché des filières musicales. C’est comme ça que j’ai atterrie à la NIU. Evidemment, mes parents m’ont soutenue, ils ont tout payé et aujourd’hui ils croient en moi.
Ma 1ère année c’est bien passé. Au début, mon look assez classique et sobre a attiré quelques regards mais rien de bien alarmant.
Les uns se font persécutés, pendant que d’autre comme moi prévoit déjà une porte de sortie au cas où ils seraient pris pour cible : entrer dans un gang.
Ça coûte rien, ça apporte juste des relations, des amis et l’occasion de se démarquer. Pour moi c’était clairement un plus. Alors j’ai pas hésité, j’ai fait de mon envie d’entrer dans le gang de ma classe un objectif : un objectif que j’ai aujourd’hui accompli et qui plus est en m’illustrant comme homme de main de ce gang.
Me voilà donc en 2ème année à présent. »